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histoire civile et religieuse - Page 2

  • Balade autour d'une fresque

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    Auteur: R. Serrurier

    Sujet: Transfiguration (copie partielle de l'œuvre de Raphaël).

    Signature: angle inférieur dextre.

    Technique picturale : huile sur toile marouflée sur mur d'enduit.

    Lieu de conservation: Eglise de Brillon en Barrois.

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    SUPPORT

    Nature : La composition est réalisée sur deux lés distincts.  Le lé supérieur s'interrompt à la limite de l'arc inférieur, l'autre lé étant utilisé pour les écoinçons.

    Procédé : La composition a dû être exécutée en atelier et mise en place ensuite.  Pour parfaire la présentation, un raccord a été peint à même l'enduit surtout à droite de l'arc inférieur.  Des raccords subsistent à la jonction des lés.

     

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    COUCHE PICTURALE

    Interventions précédentes: pas d'intervention particulière à signaler.

    Altérations : L'encrassement très important de la surface constitue l'altération majeure, cet encrassement est constitué de suie et de poussière et altère en grande partie la lecture de l’œuvre. Un vernis épais et irrégulier couvre la surface picturale.  Avec le temps il s'est oxydé et est devenu jaune brun.  De nombreuses coulures et surépaisseurs se distinguent sous l'encrassement.

    Il est possible de deviner une surface picturale usée sur les crêtes du tissage de la toile, cela peut provenir de la technique du peintre ou de la pose de la toile lors du marouflage.

    Des zones adhèrent mal au support mural qui est lui même irrégulier, le relief de la surface ne correspond pas toujours à des cloques.  La surface du mur n'est pas d'une planéité parfaite.  De nombreuses pertes d'adhérence ont été observées sur le pourtour de la composition.

     

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    TRAITEMENT.

    Après plusieurs essais la surface est décrassée à l'eau déminéralisée additionnée de citrate d'amonium (20g/1).  Le retrait de l'encrassement accentue les irrégularités du vernis jauni.  Des essais de solvants organiques ont permis de sélectionner le mélange de solvants suivant: Isopropanol / Méthyléthylcétone (50150).  Ce mélange permet de faire un allègement progressif sans nuire à la couche picturale.  La lecture de l'œuvre s'en est trouvée facilitée.  La consolidation des zones soulevées a pu être réalisée avec un mélange de Plextol B500 et de Méthylcellulose à 3% (75/25).  Cette association permet d'avoir un adhésif qui reste réversible à l'eau et qui est particulièrement visqueux pour améliorer l'adhérence pendant le séchage de l'adhésif principal qui est le Plextol B500.  Les excédents d'adhésif sont évacués par le passage d'un petit rouleau de mousse.

    Après les consolidations, la surface est vernie avec une résine naturelle Damar (50150 dans du White Spirit D40) appliquée au chiffon, pour bien uniformiser la surface.

    Dans les quelques lacunes de couche picturale, une intervention de réintégration est effectuée avec des couleurs de restauration.  Ce sont des pigments libres associés à un résine vinylique PVA Berger en solution dans de l'éthanol.

    Tiré du rapport de Christian Vibert, restaurateur de l’œuvre en 2002. Cette restauration a pu avoir lieux grâce à la générosité de l’amicale des sapeurs pompiers de Brillon qui a pourvu au paiement des travaux.

  • la Classe en 1912.

    La classe des filles en 1912 par Melle Hornust. L'école des filles se situait dans l'actuelle rue des Vignes. Logeait a cette époque, l'institutrice, Marie Hornust, née à Rupt aux Nonains en 1881. L'accompagnait également sa mére Léonie Monchablon et Claire Rémy, institutrice adjointe.

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    Sur la photo de gauche à droite et de haut en bas.
    1er Rang  : Germaine BOUGEAT / Marguerite THEISEN / Lucienne HENRY / Louise THEISEN / Odette THEMELIN / Hélène FONTAINE.
    2éme Rang : Suzanne HEUILLON / Claire LEFEBVRE / Suzanne PERINET / Mlle HORNUST institutrice / Elise HEUILLON / Claire THEMELIN / Gabrielle DROUOT.
    3éme Rand : Jeanne THEISEN / Renée BOUGEAT / Yvonne LAMIRAL / Charlotte THIEBAUD / Narcisse MOLITOR / Cécile COLLOT.
  • FLEURISSEMENT

    Dans son courrier du 12 octobre 1960, le président Nanty de l’association touristique du département de la Meuse, annonçait au maire de Brillon Marcel Rondeau, que notre commune venait de décrocher un 2e prix au concours départemental de décorations florales. Il écrivait que l’on pouvait être fier pour une année de démarrage et nous encourageait de continuer dans cet élan.

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    C’est ainsi que démarrait, un an seulement après la mise en place du concours national des villes et villages fleuris la longue et vertigineuse ascension dans l’échelle du fleurissement. Cette montée en puissance crescendo était due à la volonté de Marcel Rondeau et de son équipe, qui au fil des ans ont fait la renommée de Brillon dans l’art de fleurir maisons et places. Revenons un instant sur ces années glorieuses.

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    1961 : 5e prix national et 1er prix départemental.
    1963 : 4e prix national.
    1965 : 1er prix national.
    1969 : 2 fleurs.
    1970 : hors concours.
    De 1960 à 1967 un concours municipal est organisé.
    De 1989 à 1995, l’équipe municipale d’André Naly organise un nouveau concours municipal. Durant cette période quelques Brillonnais obtiennent des premiers prix départementaux.

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    Aujourd'hui : 2009, une équipe viens de se former autour d’Héloïse Dziewulsky pour redonner une dynamique au fleurissement. Soyez les bienvenus, n’hésitez pas à prendre contact avec elle.
  • LE RECENSEMENT

    Comme annoncé dans le dernier Brillon Infos, un recensement va avoir lieu courant janvier. Je vous propose une balade au travers du premier recensement établi en 1836 à Brillon.

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    Ce document consiste en un livret de 33 pages, certifié par le maire d’alors, François Cordier le 20 mai 1836. Il s’intitule : “état nominatif des habitans”. La population est de 874 habitants avec la répartition suivante : 215 garçons, 185 hommes mariés, 18 veufs, 226 filles, 185 femmes mariées et 45 veuves. Ce qui fait 418 hommes contre 456 femmes. Les doyens sont Marie Trusson âgée de 87 ans et François Gueriot, ancien curé, âgé de 83 ans.


    Le tableau servant au recensement comporte 13 colonnes avec les entêtes suivantes: un numéro d’ordre général, de 1 à 874, le numéro 1 étant le maire ; un numéro d’ordre des ménages, soit de 1 à 253, ce qui veut dire qu’il y avait 253 ménages au village; le nom de famille ; les prénoms ; les titres, qualifications, état ou profession et fonctions ; l’état civil réparti sur 6 colonnes avec pour le sexe masculin, garçons, hommes mariés et veufs et pour le sexe féminin, filles, femmes mariées et veuves ; l’age ; et une colonne observation utilisée pour préciser d’éventuels liens de parentés.


    La rubrique concernant les métiers est riche d’enseignements pour le lecteur. Voici donc une liste de ces professions par ordre alphabétique : un berger, un boucher, un boulanger, deux bourreliers, neuf bûcherons,  six cabaretiers et cabaretières, un cantonnier, Nicolas Thiébaud, quarante quatre carriers, un charbonnier, trois charrons, un cloutier, cinq cordonniers, quatre couturières, soixante trois cultivateurs, deux curés François Chatourelle en exercice et François Guériot en retraite, neuf domestiques, un écarreur, celui qui équarri les troncs pour en faire des poutres, un entrepreneur, un garde, Jean Gourel, un garde champêtre, Nicolas Gourel, un garde forestier, François Cordier, un garde terrassier, Louis Coppet, un instituteur, Jean-Baptiste Génard, onze maçons, quarante manoeuvres et manouvrières, un marchand de bois, quatre maréchal ferrant, trois menuisiers, une revendeuse, trois soldats, cinq tisserands, deux tourneurs et trois voituriers, ceux qui convoyaient la pierre.

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    La première réflexion qui vient est : un boucher et un boulanger seulement pour nourrir toute cette population ? Eh bien oui, la nourriture principale était la soupe au lard et le cochon était élevé par le propriétaire, on n’achetait qu’un peu de pot au feu pour le dimanche. Pour le pain, c’est la même chose, chaque famille produit le sien.
    La deuxième réflexion concerne l’encadrement communal: un garde, un garde champêtre, un garde forestier, un garde terrassier, un cantonnier, plus le maire et un adjoint, voilà une population bien gardée.
    La troisième réflexion concerne les métiers de l’habillement: cinq tisserands, quatre couturières et cinq cordonniers voila du choix pour se vétir.
    Ma dernière réflexion portera sur le nombre de cabaretiers qui est de six et qui s’explique par le nombre d’itinérants qui traverse régulièrement la commune.

  • 14-18 ... TEMOIGNAGE

    Propos recueilli en 1998.


     Roger PELLETIER , 7 ans en 1916 , pupille de la nation.


    Les militaires : Sur plus de 4 hectares au Grand Pâquis ( actuel lotissement ) s' étendait une véritable usine pour la réparation des camions de la Voie Sacrée . C' était un véritable camp militaire . Il y avait de nombreux bâtiments qui semblaient construit pour durer . Nous les gosses on étaient tout le temps avec les soldats . Il y en avait des drôles et d' autres plus rigolos . Ils nous apprenaient toutes sortes de choses des bonnes et des moins bonnes . On les voyaient repartir pour le front et ensuite revenir , mais les rangs s' éclaircissaient . Je me rappelle d' un Marocain qui sculptait des objets en cuivre . J ' ai vu pour la première fois un dromadaire au cirque qui se produisait dans un baraquement devant la Cerisaie . J' ai vu également une revue de danseuses Parisiennes au baraquement du chemin de Jandeures . Nos parents nous croyaient crédules , mes les soldats se chargeaient de nous instruire . A l' actuelle boulangerie habitait deux femmes aux mœurs plutôt légères , tous les soldats connaissaient l' adresse . Dans notre maison logeait la troupe , les officiers occupaient la chambre du devant , les sous-officiers celle de derrière et les soldats le grenier . Chez Jean MARGUET , habitait le chef de cantonnement . C' est lui qui plaçait les troupes au fur et à mesure de leurs arrivées . Les militaires employaient des civils pour leurs paperasses , on peut citer Cécile COLLOT et Narcisse MOLITOR .


    La municipalité : C ' était Camille HEUILLON , le maire du village . Il habitait la maison qu 'occupe actuellement la famille BINOT . C' était lui qui recevait des autorités les mauvaises nouvelles et qui était chargé de les communiquer aux familles . A cette occasion , il mettait un habit propre, alors quand on le voyait sortir de chez lui en grande tenue, tout le monde était en émoi . Quelle direction prenait-il ? Chez qui allait - il ? Toutes les familles tendaient le dos et lançaient un OUF de soulagement en le voyant continuer son chemin .


    L ' armistice : C' est Augustin THIRION , soldat en permission , qui fit le tour du village au son du tambour , pour annoncer la signature de l' armistice . Tout le village était en liesse . Reparti au régiment , il contracta la grippe Espagnole et mourut pour la France à l' hôpital d' Haguenau le 4 décembre 1918 . Ayant appris moi même la nouvelle , je courrai l' annoncer à ma mère . L' ayant appris d' une autre personne , je la trouvais assise sur une chaise et en pleurs . A ce moment là je réalisais que mon père était mort pour la France lui aussi.

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    Visite présidentielle de 1916 : Je me souviens d' y avoir assisté et d' avoir récité un compliment à Mr POINCARÉ .

  • Balade à travers le temps

    Les Origines2132163971.jpg

    Au XIème siècle notre village apparaît sous le nom de BRILLONI VILLA, puis BRILLONIVILLA. Dés 1225 dans le cartulaire de Jeand'heurs on voit apparaître le nom de BRILLON. Au XVIIIème siècle on trouve indifféremment BRILLON ou BRILLONA. Enfin un décret du 10 juin 1919 lui donna son nom actuel de BRILLON EN BARROIS.
    Dictionnaire topographique de la Meuse - Félix Liénard

    951469907.jpgL'étymologie du nom BRILLON va peut être nous renseigner sur l'origine du village. Pour cela il faut se reporter à la forme la plus ancienne, c'est à dire Brilloni Villa. Nous trouvons des définitions dans des dictionnaires différents. "Brilloni viendrait de Beryllus, surnom romain d'origine grecque auquel on aurait ajouté le suffixe Anem. Quand à Villa il peut désigner la ferme ou plutôt le domaine au sens large. (domaines jusqu'a 40 habitants) ". Brillon vient du nom d'homme latin BERYLLIUS, BERULLIUS, DE BERYLLUS surnom romain d'origine grecque.
    Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France - Dauzat & Rostaing

     

     

    984 - création du Comté de Bar 97939171.jpg

    La première mention de Brillon coïncide avec la création du Comté de Bar par Frédéric Ier en 984. Béatrice de France, soeur de Hugues Câpet, et son fils reçoivent de Gérard, évêque de Toul, 59 manses et plusieurs villages parmi lesquels : Montplonne, Brillon, Longeville, Resson, Bazincourt et d’autres. “Precariam quoque faciens de Barro monte accepit a duce Béatrice 59 mansos, videlicet, villam Vemplonam, Brillonivillam, Longamvillam, Reson, Nant cum molendino, Corcellas, item Corcellas, Basinicurtem”  widric, histoire de Saint Gérard.

    1208569101.jpgQuelques dates

    1159 - Donation faite par Ancel et Guy de BAR, de la vaine pâture de Genvar et autres terres de Brillon à l'abbaye de Trois Fontaines.
    1255 - Jean de BEAURAIN (BELRAIN), chevalier, donna sous l'agrément de Thiébaut II, Comte de Bar, à l'église de Jandeures, tous les droits qu'il avait ou devait avoir sur diverses familles, tant de Ville sur Saulx que de Trémont et de Brillon, les assujettissants au service de la dite église.

     

     

    Echange en 12791969841341.jpg

    En novembre 1279, Philippe, châtelain de Bar, fait savoir par ses lettres qu'il a échangé et quitté au treffons et à toujours à l'abbé et au couvent de Jandoires, tout ce qu'il avait ou pouvait avoir en Béatrix, fille Houdion de Ville sur Saulx, laquelle Béatrix est femme Mengier, ainsi que les enfants qui sont, seront et pourront issoir de la dite Béatrix, contre Hawiette, cum dit Bonsillon, qui maint à Brillon.

    Vente en 1339

    Jacques Ier d'Autrêche, châtelain de Bar, vendit le 21 mai 1339, mercredi, après la Pentecôte, avec Marie, sa femme, à Henri, Comte de Bar, et à ses hoirs, de leurs biens d'Andernay, Ville sur Saulx et Brillon, moyennant 665 livres 9 sols de bons tournois.
    Archives de M et M, B532 et B537.

     

    852041325.jpgle four banal en 1364

    La lecture des comptes de Symon Le Don nous apprend que le four de Brillon appartenait au chapitre Saint Maxe à Bar. Le four est banal, c’est à dire que tous les habitants du village devaient y aller cuire leur pain moyennant une certaine somme qui revenait au Chapitre.

     

    Impots en 1473

    Dans les comptes de Jean de la Lore, receveur d’Ancerville pour Mme la Duchesse de Lorraine, Yolande d’Anjou, comtesse de Vaudémont, dame de Joinville, d’Ancerville et de Brillon, il est question d’une rente appelée faux due par les habitants de Brillon.

     

    Les ducs de GUISE

    Les ducs de Guise possèdent la Baronnie d’Ancerville, dont dépend le village de Brillon, cette branche issue de René II, duc de Bar et de Lorraine et de Philippe de Gueldres sont très important dans le royaume de France. Les descendants les plus célèbres sont Marie Stuart, reine de France, puis reine d’Ecosse et Henri, dit “ le Balafré”, 3e duc de Guise, adversaire farouche d'Henri III, qui le fera assassiner en son château de Blois en 1588. 

    Donation en 1537

    10 août 1537 - Antoinette de Bourbon épouse de Claude de Lorraine, 1er duc de Guise, détenteur de la Baronnie d'Ancerville donne aux 262748125.jpghabitants de Brillon des bois.

     

    François de Lorraine, en 1550

    1913020404.jpgA la suite du partage préparé par Claude de Lorraine le 3 mars 1550, François de Lorraine, né au Chateau de Bar le 16 février 1520, entre en possession du duché de Guise et de ses dépendances,  baronnies de Joinville, Eclaron, Ancerville et Montiers-sur-Saulx. Brillon fait partie de la baronnie d’Ancerville.

     

    Quelques Seigneurs

    la famille Colliquet (Porte : d’azur au sautoir d’argent cantonné de quatre hures de sanglier d’or.)1332115012.jpg

    1993685096.jpgCharles-Henri de Colliquet, fils de pierre de Colliquet et de Françoise Boucher, né à Bar le 16 juin 1681, écuyer, seigneur de Tronville et Brillon, gentilhomme ordinaire de S. A., Épousa Madeleine de Rouyn, fille d’Alexandre de Rouyn, procureur général ès-juridiction de Bar, et de Gabrielle Beaudoux, veuve de François de Briel. Madeleine de Rouyn mourut le 28 juin 1766 ; Charles-Henri de Colliquet, le 30 mai 1711, âgé d’environ 30 ans et fut inhumé aux Clarisses.

     

    la famille Bournon (Porte : de Sinople à un livre d’argent fermé d’azur garni d’or.)1270157784.jpg

    5 octobre 1711 - "L'an mil sept cents onze, le cinquisme octobre est décédé de mort subite en cette paroisse Messire Christophe BOURNON, mary en secondes noce de Damoiselle Louise MOLEUVRE, âgé de soixante et dix ans. Son corps à esté inhumé dans l'église d'icelle paroisse devant l'autel de st Christophe avec les cérémonies en présence de François HARMENT et de Claude LEPRÊTRE qui ont signé avec moy P  RENAUD curé de Brillon"
    1712 - "damoiselle Louise MOLEUVRE, 63 ans veuve Christophe BOURNON inhumée dans le cimetière vers le milieu de l'église du coté du soleil couchant”

     

    Pour en savoir plus :

    Dictionnaire topographique du département de la Meuse, par Félix Liénard - 1872.
    La Maison souveraine et ducale de Bar, par Georges Poull - 1994.
    Les branches cadettes issues de la Maison de Lorraine, par Georges Poull.
    Le Comté de Bar des origines au traité de Bruges, par Marcel Grosdidier de Matons - 1922.
    La Chambre des Comptes du Duché de Bar, par Dumast - 1907.
    Le Barrois mouvant au XVIIé siècle, par Alphonse Schmitt - 1929.
    Nobiliaire de Bar en 1771, Mémoire de la société des lettres de Bar - 1900.
    De la Saulx à l’ornain, abbé André Gaillemin - 1956.
    En flanant de Brillonnivilla à Brillon-en-Barrois, par Francis Maizieres - 1976.